Le merengue folklorique (merengue típico ou perico ripiao), utilise un accordéon, une güira, une tambora (en) et un petit tambour à double tête, parfois un marimba, ainsi que le bandurria qui fut supplanté par l'accordéon.
Le merengue est resté une danse de la campagne, critiqué par la bourgeoisie qui préférait la tumba jusqu'à ce que le dictateur Rafael Leonidas Trujillo Molina ne le déclare « danse nationale officielle ».
Dans les années 1970, le merengue s'est modernisé et, sous l'influence de la salsa, les groupes ont incorporé le piano, des cuivres (trombone) et des bois (saxophone), puis le synthétiseur et basse électrique.
En France, Patrick Sébastien a permis la découverte du merengue par sa reprise du titre El Venao qu'il a adapté en français sous le nom La Fiesta.
Juan Luis Guerra a fait connaître internationalement le merengue en 1990 avec Ojalá que llueva Café.
Suavemente du portoricain Elvis Crespo est un des plus grands succès.
En 2004, Papi Sánchez, en mélangeant le merengue avec le rap, a connu un succès international avec son titre Enamorame.
Depuis 2009, on voit aussi apparaître un nouveau genre appelé merengue electronico, fusion de merengue et d'electro, le pionnier est Omega avec Que Tengo Que Hacer (repris par Daddy Yankee), et parmi les succès on compte Shakira et ses hits Loca (2010) puis Rabiosa (2011), Juan Magan et Bailando por ahi (2011); plusieurs tubes sont aussi remixés de cette façon : Party Rock Anthem de LMFAO, Danza Kuduro de Don Omar et Lucenzo, Tonight I'm Loving You d'Enrique Iglesias, …